Combien d’entre nous, parents expatriés, nous sommes mis en quatre pour que nos enfants ne perdent pas le français ?
Combien d’heures passées, de conflits gérés, de méthodes essayées ? À tel point que nous ressentons souvent une grande fatigue quand vient l’heure de la prochaine leçon.
Comment changer cette corvée (pour nous comme pour notre enfant) en moments de complicité ? Voici une tranche de ma propre expérience. Pour vous prouver que oui, malgré les « j’ai pas envie » et les « c’est nul le français ! », il est possible de faire de ces moments d’apprentissage des moments de bonheur.

Une histoire de ninjas et de samouraïs
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